Non, les différences entre les êtres humains et les animaux sont nombreuses et toute interprétation est difficile, surtout quand il s’agit de domaines complexes comme c’est le cas pour les perturbateurs endocriniens. L’interprétation des études de recherche en biologie, que ce soit in vitro ou chez l’animal, ne peut pas s’envisager de façon isolée. Ce n’est qu’en recoupant un très grand nombre d’informations obtenues au moyen de nombreuses études de types différents que l’on arrive à conclure si l’effet observé sur l’animal peut être extrapolable à l’homme.